Des groupes de Québec demandent l'abolition des certificats de «sécurité»

Bonjour,

Cette déclaration a été envoyée —au nom de 2 regroupements (ASIC-FIQ & RÉPAC 03-12) et de 5 groupes de Québec (à l'instar de 75 regroupements au Québec)— aux membres du comité parlementaire fédéral sur la sécurité publique, aux ministres Stockwell Day et au premier ministre.

Envoyée le 13 décembre 2007: juste avant que le comité parlementaire devait se prononcer. Notez que leur vote a été reporté à la fin janvier 2008.

   Les regroupements et groupes suivants, de la Ville de Québec, demandent l'abolition des certificats de sécurité pour les raisons mentionnées ci-dessous.

   Par conséquent, nous vous demandons aujourd'hui de voter contre la loi C-3 qui est, de plus, une fausse réforme desdits certificats de « sécurité ».

  • Les membres de la Coalition de Québec pour la paix (www.coalitionsquebec.org) ;

  • Alliance des syndiquées interprofessionnelles du Centre hospitalier universitaire de Québec (ASIC), membre de la FIQ ;

  • Regroupement d'éducation populaire en action communautaire des régions de Québec et Chaudière-Appalaches (REPAC 03-12; plus de 30 groupes membres) ;

  • le bureau à Québec d'Alternatives (www.alternatives.ca);

  • la section Capitale nationale de l'Association pour une taxation des transactions financières pour l'aide aux citoyen(ne)s (www.quebec.attac.org);

  • le journal Droit de parole (www.droitdeparole.org).

    • Nous incluons ci-dessous quelques exemples des 75 regroupements du Québec qui avaient déjà déclaré, avant nous, leur opposition publique auxdits certificats.

POSITION SYNTHÈSE :  Les « certificats de sécurité » permettent au gouvernement d'emprisonner sans procès ou encore d'expulser une personne sur la base de soupçons secrets.  En effet, non seulement l'avocat ne peut voir les « preuves », mais la loi concernée dicte au juge d'appliquer le certificat de sécurité par un critère de soupçons raisonnables, donc en vertu d'hypothèses sans preuve.  Ceci permet de traiter en criminel des gens sans accusation et encore moins un procès juste.

   Le code criminel canadien permet déjà d'espionnner, d'emprisonner et d'accuser une personne qui est en train de comploter; qui prépare un acte terroriste par exemple. Mais nous parlons plutôt ici de gens emprisonnés pendant des années SANS AVOIR COMMIS LE MOINDRE CRIME: ce sont simplement des hommes estimés louches par des agents.

   Les « certificats de sécurité » permettent au gouvernement d'outrepasser le droit sous prétexte qu'une personne est non citoyenne.  On viole ses droits fondamentaux et les principes de justice de base du Canada et du Québec, parce qu'elle est non citoyenne et cela sans preuve ni crime.
[ info ou sources incluses ci-dessous ]

CONTRE CETTE FAUSSE RÉFORME :
   Pour répondre à la demande de Cour suprême du Canada, qui juge que les certificats de sécurité violent des droits humains fondamentaux, le gouvernement canadien, représenté par Stockwell Day, propose de les adoucir en permettant des « avocats spéciaux » pour les personnes ciblées.  Ces « avocats spéciaux » seraient les seuls à pouvoir étudier les soupçons ou «preuves».

AUTRES APPUIS ACTUELS DE LA NATION QUÉBÉCOISE
   75 regroupements ont appuyé la campagne québécoise demandant l'abolition des certificats de sécurité.  Leur campagne est surnommée « Fermez Guantanamo Nord » (du Canada)

  • Échec à la guerre
  • Association québécoise des organismes des coopération internationale (AQOCI)
  • Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP)
  • Travailleurs canadiens de l'automobile (TCA)
  • Congrès du travail du Canada (CTC)
  • Ligue des droits et libertés
  • Amnistie internationale
  • Human Rights Watch
  • Center for Constituational Rights
  • International Civil Liberties Monitoring group

--

Michaël Lessard, pour la Coalition de Québec pour la paix

info@coalitionsquebec.org / (418) 254-6448 no.225


SOURCES D'INFO
Voici des sources suggérées..
.

Certificats de sécurité: effort minimal du gouvernement canadien
- Un article de qualité, qui résume bien le problème et le jugement, dans Le Devoir, mardi 23 octobre.
[ www.ledevoir.com/2007/10/23/161583.html ]

Amnistie internationale
CANADA : CERTIFICATS DE SÉCURITÉ - IMPORTANTE VICTOIRE POUR LES DROITS !
LA COUR SUPRÊME INVALIDE LA PROCÉDURE DES CERTIFICATS DE SÉCURITÉ

[ www.amnistie.ca/content/view/10897/56 ]

Conseil canadien pour les réfugiés
Résumé de l’argumentation dans les appels de Charkaoui, Harkat et Almrei présentée par l’intervenant composé d’une coalition comprenant le Conseil canadien pour les réfugiés, l’African Canadian Legal Clinic, la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles, et le Conseil canadien de lutte contre le racisme.
[ www.ccrweb.ca/seccertresum.html ]

Mises à jour

Mise à jour: le vote est reporté au moins au 29 janvier 2008!

À NOTER: Les Communes ont adopté lundi le projet de loi modifiant certaines dispositions des certificats de sécurité. Il est donc trop tard pour faire des pressions. Le Bloc et le NPD ont voté contre.

SOMMAIRE
- Le vote sur la nouvelle loi des certificats de sécurité est reporté
- Mise à jour et 25 et 26 janvier 2008 : journées d'action

Message de
• La Campagne pour mettre fin aux procès secrets au Canada;
• Le Comité Justice pour Mohamed Harkat;
• La Coalition Justice pour Adil Chakaoui
[ coordonnées et sites au bas ]
--

MISE À JOUR ET APPEL À L'ACTION

Nous avons appris que le vote final de la Chambre des communes à propos du
« nouveau » processus des certificats de sécurité (projet de loi C-3), qui
devait avoir lieu en début de semaine, a été reporté, et ce jusqu'à la
semaine du 28 janvier 2008
.

Félicitations et merci à toutes les personnes qui ont manifesté, participé
à des délégations, écrit des lettres ou qui ont appelé les députés.
Ensemble, nous avons gagné la première manche de ce combat contre la
nouvelle loi des certificats de sécurité. Mais il reste encore beaucoup à
faire.

LA PRESSION POPULAIRE RETARDE LE VOTE

Ayant longuement insistés sur la nécessité pour la Chambre des communes de
voter cette loi avant le congé du temps des Fêtes, les Conservateurs se
sont finalement montrés réticents à passer immédiatement au vote. C'est
peut-être à cause de la grogne populaire à l'endroit des certificats de
sécurité, ou à cause de ce que leur disent les sondages actuellement (le
Parti Conservateur a dépensé $31 millions en sondages depuis leur arrivée
au pouvoir; c'est une moyenne de deux sondages par jour ouvrable depuis
leur élection).

Les bureaux des députés fédéraux auraient reçu des « dizaines et des
dizaines » d'appel au cours de la dernière semaine, provenant des quatre
coins du pays. Ces appels font suite à plusieurs mois de mobilisation
contre le nouveau projet de loi.

La conclusion à laquelle sont arrivés la plupart des organismes juridiques
du Canada est que la nouvelle loi ne passerait pas le test d'une
contestation fondée sur la Charte, peut-être a fait peur ainsi les
Conservateurs.

LA NOUVELLE LOI EST UNE COPIE QUASI-IDENTIQUE DE L'ANCIENNE LOI

La loi C-3, comme l'ancien certificat de sécurité, permettra encore au
gouvernement d'arrêter des personnes arbitrairement, de les détenir pour
des périodes indéfinies sans les accuser et sur la base de soupçons gardés
secrets, et de les déporter vers la torture
. La nouvelle loi ne répond à
aucune des revendications fondamentales de la campagne publique contre les
certificats de sécurité.

Le gouvernement minoritaire de Harper a pris près de huit mois pour
rédiger la loi C-3. Dans un vote qui a été appuyé par le Bloc Québécois et
par les Libéraux, la Chambre des communes a passé le projet de loi au Comité
sur la « Sécurité publique », qui n'a accordé que deux semaines et demi pour tenir
des audiences et faire des révisions.
C'est uniquement suite à la pression populaire que les audiences sont
devenues légèrement plus accessibles, mais en fin de compte le temps a
manqué pour questionner sérieusement le bien-fondé de cette loi et pour
étudier les soumissions de différents groupes qui revendiquent l'abolition
des certificats de sécurité. Avant de remettre le projet de loi entre les
mains du Parlement, le Comité a fait trois amendements mineurs, qui n'ont
rien changé aux lacunes qui caractérisent cette loi.

La Chambre des communes reprendra ses activités le 29 janvier prochain. Si
la loi C-3 est adoptée à la Chambre des communes, elle passera ensuite par
le Sénat et traversera le même processus qu'aux Communes, c'est-à-dire une
première et une deuxième lecture, ensuite des audiences devant un comité,
une troisième lecture et, finalement, le vote final. Peu importe que la
nouvelle loi sur les certificats de sécurité soit prête ou pas, la
décision de la Cour suprême (qui avait été suspendue pendant un an)
entrera en vigueur le 23 février 2008, et l'ancien processus des
certificats de sécurité mourra.

PROCHAINES ÉTAPES : ATTENTION AU CLIMAT DE PEUR ET À « L'HABILLAGE DE LA LOI »

Après six années de mobilisation populaire pour mettre fin aux procès
secrets et à la justice à deux vitesses - six années durant lesquelles la
Cour Suprême a déclaré que le processus des certificats de sécurité allaient
à
l'encontre de la Constitution - les détenus et leur famille font
maintenant face à une nouvelle loi qui, si elle entre en vigueur, ne va
que prolonger leur souffrance et faire croître leur crainte d'un renvoi
vers la torture.

Étant donné que les Conservateurs se sont maintenant rendus compte qu'il
ne tient pas la route de tenter de faire passer une loi qui est déjà
considérée comme anti-constitutionnelle par plusieurs, ils pourraient
tenter d'apporter quelques changements mineurs à la loi, par exemple des
modifications de façade aux sections de la loi concernant « l'avocat
spécial ». Il est important de résister à ce toilettage de la loi, qui ne
change rien à cette législation fondamentalement injuste et déficiente.
L'ajout de ces « garanties » pourrait certes aider la loi à être adoptée à
la Chambre des communes, mais ça ne fera rien pour aider ceux qui sont
victimes de ce processus draconien.

Il est important de faire comprendre aux députés que le concept « d'avocat
spécial » est loin d'être une panacée. Ce concept a été discrédité au
Royaume-Uni et crée un dangereux précédent qui pourrait étendre cette
culture du secret à plusieurs autres procédures gouvernementales. De plus,
la notion d'avocat « spécial » ne répond pas au défi lancé par la Cour
suprême en février dernier, quand elle a déclaré anti-constitutionnels les
certificats de sécurité : comment est-ce que quelqu'unE peut se défendre
contre des accusations dont elle ne connaît même pas le
contenu ?

Les députés et les promoteurs du système des « avocats spéciaux » vont
peut-être essayer de jouer sur la peur, en affirmant que, si la loi expire,
ce sera le chaos et la « sécurité » des Canadiens et des Canadiennes sera
mise en péril. Ceci est complètement faux. Si tout d'un coup les détenus
des certificats de sécurité sont libérés ou qu'ils ne sont plus sujets aux
restrictions sévères qui maintiennent eux et leurs proches sous
assignation à résidence, le gouvernement pourra alors faire ce qu'il
aurait du faire dès le début et ce qu'il aurait fait si les victimes des
certificats de sécurité étaient des citoyens canadiens : les accuser (s'il y
a quelque chose contre eux), leur donner
accès aux preuves et leur donner l'occasion de subir un procès juste et
équitable.

Peu importe les modifications superficielles qu'on pourra y apporter, la
loi C-3 ne fera que perpétuer la justice à deux vitesses au Canada. Elle
continuera de faire en sorte que des gens pourront être détenus
indéfiniment tout en menacés d'une déportation vers la torture.

EN JANVIER : IL FAUT AGIR!

Au cours du prochain mois et demi, il est essentiel de mettre de la
pression sur les députés fédéraux - en particulier les députés libéraux -
qui voteront à la fin du mois de janvier. Il est également important de
commencer à mettre de la pression sur les membres du Sénat.

Toutes les ressources nécessaires pour agir (pétitions, feuillets
d'information, tracts, lettres modèles, etc.) se trouve en ligne à
l'adresse suivante : www.jerome.koumbit.org/adil/

CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE :

1. Contactez les députés. (Le NPD s'oppose à la loi C-3, alors
concentrez-vous sur les Libéraux, le Bloc et
les Conservateurs.) Dites-leur qu'un « avocat spécial » ne réglera rien et
que c'est une procédure inacceptable qui ne fera que perpétuer la justice
à deux vitesses au Canada, tout en donnant lieu à la possibilité d'étendre
cette utilisation soi-disant « légitime » d'information secrète à d'autres
domaines de la loi. Essayez de convaincre les députés de produire une
déclaration publique d'opposition à la loi C-3. Posez-leur clairement la
question : sont-ils en faveur d'une loi qui permet les arrestations
arbitraires, les preuves secrètes, la détention pour une période
indeterminée et les renvois
vers la torture? Sont-ils en faveur d'un système de justice à deux
vitesses?
Le vendredi 25 janvier est une journée de suivi auprès des députés. Si
vous n'avez toujours pas reçu de réponse à vos questions à cette date,
considérez la possibilité d'organiser une délégation à son bureau, ou de
l'appeler massivement.

2. Trouvez les Sénateurs qui viennent de votre région. (Une liste se
trouve à l'adresse suivante :
www.parl.gc.ca/common/senmemb/senate/isenator.asp?Language=F).
Appelez ces Sénateurs et faites-leur part de vos préoccupations, étant
donné que ce sont eux qui devront approuver la loi C-3 si elle est adoptée
à la Chambre des communes.

3. Le samedi 26 janvier sera la prochaine journée d'action pan-canadienne
contre les procès secrets, les déportations vers la torture et le système
de justice à deux vitesses. Vous pouvez organiser un événement public dans
le cadre de cette journée (une manifestation, une ligne de piquetage, une
vigile, un atelier, une visite à votre bureau de député, etc.). Contactez
tasc /arobas/ web.ca pour nous informer de vos plans s'il y a lieu.

4. Si vous êtes dans la région de Ottawa, participez aux activités
entourant l'audience d'Adil Charkaoui devant la Cour suprême, qui aura
lieu le 31 janvier 2008. Il s'agit d'une contestation de la destruction
des preuves par le SCRS dans son dossier. Cette audience exposera sans
doute certaines des faiblesses de « l'information » obtenue par le SCRS :
ouï-dire, rumeurs, profilage, informations obtenues sous torture, etc.
Contactez justiceforadil /arobas/ riseup.net pour plus d'information.

Merci !

• La Campagne pour mettre fin aux procès secrets au Canada (tasc /arobas/ web.ca ; www.homesnotbombs.ca )
• Le Comité Justice pour Mohamed Harkat (justicepourmohamedharkat /arobas/ yahoo.ca ;
www.justiceforharkat.com )
• La Coalition Justice pour Adil Chakaoui (justiceforadil /arobas/ riseup.net)

25 jan'08: Journée d'appels contre les certificats de sécurit

Source : Échec à la guerre
www.aqoci.qc.ca/ceg/index.php?id=3#jeudi24

Vendredi 25 janvier, partout au Québec :

Journée d'appels téléphoniques à vos députés contre le projet de loi C-3

Organisé par : La Coalition Justice pour Adil Charkaoui

Le vote final de la Chambre des communes sur le « nouveau » processus des certificats de sécurité (projet de loi C-3), qui devait avoir lieu avant le congé du temps des Fêtes, a été reporté. La Chambre des communes reprendra ses activités le 29 janvier prochain.

Avant les Fêtes, les bureaux des députés fédéraux ont reçu des " dizaines et des dizaines " d'appel provenant des quatre coins du pays et plusieurs ont reçu la visite de délégations pour les convaincre de voter contre le projet de loi. La partie n'est pas gagnée et il est plus que jamais important de maintenir la pression sur les députés.

Comme le 25 janvier est la dernière journée avant la reprise des travaux à la Chambre des communes, nous vous demandons d'inonder d'appels les députés fédéraux afin d'obtenir un engagement de leur part à voter contre le projet de loi C-3. Vous pouvez trouver les coordonnées de tous les députés au www.parl.gc.ca. Comme le NPD a déjà indiqué qu'il voterait contre la loi C-3, nous vous suggérons de vous concentrer sur les libéraux, le Bloc et les conservateurs.

En contactant votre député, dites-lui qu'un « avocat spécial » ne règlera rien et que c'est une procédure inacceptable qui ne fera que perpétuer la justice à deux vitesses au Canada. Essayez de le convaincre de produire une déclaration publique d'opposition à la loi C-3. Posez-lui clairement la question : est-il/elle en faveur d'une loi qui permet les arrestations arbitraires, les preuves secrètes, la détention pour une période indéterminée et les renvois vers la torture? Est-il/elle en faveur d'un système de justice à deux vitesses?

Nous vous invitons également à nous faire parvenir sa réponse au justiceforadil /arobas/ riseup.net.

Pour plus d'information, http://www.adilinfo.org/?q=fr

Activités en continu

Émissions de radio alternatives à Québec (mai 2020)

Un i avec des ondes arrondies sur son côté gauche et droite. Il s'agit en fait du logo du réseau Indymedia, mais avec un style bleuté et dégradé élégant   Nous vous offrons une grille horaire des émissions qui abordent divers enjeux sur les ondes radios communautaires de CKIA (88,3 FM), CKRL (89,1 FM) et CHYZ (94,3 FM).  Nous souhaitons donner plus de visibilité aux émissions radiophoniques indépendantes ayant un caractère engagé ou même progressiste. »»»

PING! Formation EN LIGNE gratuite à Internet

Affiche : un côté gris pâle, à travers lequel on discerne un clavier floue. « PING ! »  Nommes les sujets des modules (voir l'annonce ici). Logo du gouvernement du Québec qui appuie.Nouveau : les ateliers-formations sont désormais en ligne !  Elles sont donc disponibles à distance.
L'annonce | Info: Alizé Taquoi
alize.taquoi /arobas/ communautique.quebec / 514-660-4600  

  La CDEC de Québec est fière d'être associée à Communautique pour offrir des formations gratuites pour contribuer à l'amélioration des compétences numériques (Internet) des personnes en situation de pauvreté et des personnes âgées. 

    • Il y a six modules, que vous pouvez suivre dans n'importe lequel ordre
      • Fonctionnement d'un ordinateur 
      • Recherche sur le Internet et souces fiables
      • Utilisation du courriel
      • Effectuer des transactions en ligne et protéger son identité
      • Médias sociaux
      • Utiliser les services en ligne, dont les services gouvernementaux.

Ateliers grands publics - Métiers d’art pour tous/toutes à Québec

   Située au cœur du dynamique quartier Saint-Roch, la Maison des métiers d'art de Québec offre des ateliers grand public animés par des artisans-créateurs professionnels, dans un contexte de formation favorisant une pédagogie individualisée.  Les locaux de la MMAQ sont vastes et dotés d'équipements spécialisés. 

Plus de 30 ateliers, dont céramique, sculpture, textile, dessin, etc. !

  • Les ateliers durent entre 6 et 30 heures et le coût varie entre 98 et 265 $, que vous pouvez payer en deux versements.  Toutes les inscriptions se font en ligne (ne pas confondre avec paiement) dans l'article de l'atelier sur le site de la MMAQ.

Savoir.tv - Tant de choses à découvrir gratuitement

    Un grand nombre de vidéos de qualité, sur divers sujets sont à votre disposition gratuitement sur le site savoir.tv.  Les sujets sont variés : divers enjeux démocratiques, environnement, histoire, l'inclusion des personnes différentes, santé, sciences en tout genre, solidarité et coopération internationales, etc.

Le Savoir.TV est un organisme sans but lucratif dédiée à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances et de témoigner de l'effervescence des milieux de création du savoir.

Logo de l'émission Planète Terre : un globe terrestre sur un fond de nuages cosmiques bleu vaporeux. Les continents sont blancs. Recommandé par le CESIQ.

Ateliers et services gratuits dans Vanier et Duberger (45ans+)

Logo : dessin d'un phare maritime.   À tous les mois, pour les personnes de 45 ans et plus, il y a plusieurs ateliers/rencontres sur divers thèmes organisés par la Fraternité de Vanier, ainsi que des services utiles dont notamment des repas chauds à domicile (! 5.5 $) et un transport pour vos rendez-vous médicaux (il faut contribuer au coût de l'essence seulement) !

Exemples de thèmes des rencontres : les Neurones grises à la Bibliothèque Duberger, la cuisine, les émotions et le rire, etc.

Site ou appelez 418-683-2400 / fraternitedevanier /arobas/ videotron.ca

SPOT : clinique itinérante

Logo: le O et le T ont un rond, comme une tête de personnages. Clinique communautaire de santé et d'enseignement.   SPOT est une clinique à l'intention des personnes marginalisées et de celles en situation de vulnérabilité sociosanitaire, non rejointes par l'offre de soins et services.  Il y a aussi un point de services au YWCA Québec dédié à la santé des femmes (incluant trans et queer) depuis 2019.  En plus d'offrir des soins et services adaptés, permettra de former, dans un contexte de collaboration interdisciplinaire, une relève professionnelle sensibilisée aux enjeux sociaux et aux besoins de santé de cette clientèle. 

   Elle est le fruit d'une grande collaboration des intervenant-es de terrain, universitaires, étudiant-es et des services de santé de la Capitale.

 www.cliniquespot.org ou 418-803-3398

 

Comité CPU3S : un lieu d'entraide et de partage des expériences qui organise des sorties pour tous/toutes. Contact - Simon Vermette : pairaidant /arobas/ cliniquespot.org

Comité SPOT UL (université Laval) : voir leurs activités sur Facebook

Expositions ...

Pour les expositions et les activités artistiques,
nous recommandons l'agenda offert par la Ville de Québec
et le média Quoi faire à Quebec

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